Au fil de l\'eau...

coucou mon coin coin préféré

trop cool ton boulot...nous ici fait beau aussi..
milles bisous à mes Amours...heu et qui c'est mes amours????
toi, et toi, et toi.... enfin vous quoi !

Salut Yann ainsi qu'à vous tous... et toutes ! :)

yann a écrit:

et encore .....
car l'histoire nous rappelle que souvent se sont les plus proches qui trahissent

et puis le dicton : protège moi de mes amis car je connais mes ennemis

Houlàlà Yann ! Si tu savais comme tu as raison ! Tu prêches un con-vaincu !

Durant mon activité de syndicaliste, j'ai eu une période multicartes.

J'écris multicartes parce que pendant un certain temps, j'ai eu simultanément jusqu'à trois cartes d'adhésion de différentes centrales syndicales et que cela m'avait valu de multiples trahisons tant de ma part que de celles de mes amis qui le firent certainement le coeur déchiré, et que j'ai pas eu honte de trahir à mon tour pour parvenir à mes fins : le cumul de mandats syndicaux afin de prendre le contrôle du Comité d'Entreprise et du très stratégiquement important secrétaire du CHSCT.

Après le succès d'une telle opération de noyautage, c'est surprenant comment le patron il devient gentil et avenant (mais ceci est une autre histoire) !

Cela me rappelle la célèbre expression attribuée à Jules César qui , parmi ceux qui venaient de le poignarder de 23 coups de couteaux, il reconnaissait son fils adoptif Marcus Brutus parmi eux :

Tu quoque fili mi – « Toi aussi, mon fils ! »

Alors ? Doit-on toujours avoir confiance en ses ami(e)(s) et en ses amours ? ;(

salut à tout le monde
salut flash

et bien dis donc, il y en as des syndicaux ici ?

Moi c'est mon pain quotidien

Alors ton déroulé de carrière sur les postes clés, heureusement que j'avais mes deux oreilles car sinon le sourire aurait fait le tout de la tête ...

QUE souhaites-tu savoir Yann ? Comment qu'on pourri une entreprise qui corrompt les syndicats en devenant comme eux ?

Et oui, je fut un syndicaliste corrompu Yann et je me suis fais pas mal d'ennemis en obligeant le boss à vendre son usine à gaz avec un chtit "remerciement pécunier" pour fermer ma gueule ! :roll:

Sinon c'était le zonzon pour lui et son "gang" !

et oui tu es passé du coté obscur de la force

mais ta force c'est de le reconnaitre

Moi par contre, je suis encore JEDI, crains respecté et détesté pour cela mais c'est la règle du jeu

Bonjour à vous toutes et tous, ainsi qu'à tous les palawans et aussi aux maîtres d'armes !

L'histoire que je vais vous narrer est celle d'une sinistre vengeance, la mienne.

Je n'éprouve pas de gloire, juste de la satisfaction pour avoir réussi cette oeuvre de destruction qui m'a pris 6 ans pour finir par un licenciement "arrangé" et par aussi me coûter mon mariage.

Je ne donnerais ni les noms, ni les dates exactes, ni les lieux, ni la branche professionnelle dans laquelle se déroulèrent ces événements.

Ce qui suit pourrait être un roman; c'est pourtant l'histoire que j'ai vécu.

Tout commença par un suicide; celui d'un membre de ma famille qui travaillait pour cette entreprise qui devint un peu plus tard aussi la mienne.

Suite au suicide de ce membre de ma famille qui lui même était syndiqué et harcelé en raison de son statut, celui-ci fut lâché par son syndicat et je m'étais juré de tout faire, d'une part pour comprendre ce qui avait provoqué ce drame, et d'autre part pour venger sa mort en déterminant par moi-même les présumés responsables de cette situation, responsabilité partagée entre les syndicats et le patronat auxquels je vouais une haine farouche.

Sans trop y croire, j' envoyais une lettre de candidature spontanée à l'ex entreprise où ce membre de ma famille avait travaillé avant de se suicider et, chose qui me surprend encore, je fus embauché peu de temps après sans que l'employeur soit au courant de mon degré de parenté avec cet ex salarié membre de ma famille.

Après mon embauche, j'ai attendu patiemment deux ans sagement sans faire de vagues ni d'excès de zèle dans mon activité salariale sinon en adhérant secrètement au syndicat auquel avait appartenu le sus-dit membre de ma famille, tout en m'intéressant aux conditions de travail qui, je dois l'avouer à regret, étaient plus que correctes pour moi d'autant plus que le poste me plaisait.

J'ai mis à profit ces deux premières années dans ce nouvel emploi pour apprendre par coeur la convention collective de ma nouvelle branche professionnelle et pour me replonger avec assiduité dans le Code du Travail que j'avais quelque peu délaissé dans mon ancienne entreprise, ainsi que dans l'étude des lois Aubry sur la réduction du temps de travail, en constituant un énorme dossier sur le sujet par la collection tant des publications de "Liaisons Sociales" (Editions Lamy) que les documentations à usage interne de toutes les centrales syndicales.

Le Cohen, la bible du droit des comités d'entreprise en matière de jurisprudence, qui m'avait coûté 330 Francs, ainsi que de quelques uns des Francis Lefebvre devinrent mes livres de chevet.

Mon objectif secret étant de tout faire pour monter dans la hiérarchie par voie de promotion interne afin de disposer d'un pouvoir à même d'assouvir ma vengeance.

Ce fut une période où je me mis avec ferveur à l'Internet pour recenser tous les sites et forums concernant le monde du travail et le droit social.

C'était le début des connections gratuites et des forfaits 50 heures.

La bulle internet n'avait pas encore éclatée et Google n'existait pas encore. C'était AltaVista qui était mon moteur de recherche préféré.

Mon modem tournait à 28000 bauds et monopolisait la ligne téléphonique, Windows 95 ne prenait pas encore en compte les ports USB, le MP3 était encore confidentiel, les téléphones portables avaient la taille d'une malette pesant 3 Kg, les vitesses de téléchargement souvent inférieures à 3 ko/s et la facture de téléphone était salée, dépassant souvent les 1500 Francs tous les deux mois et je frimais avec mon ordi portable, un Pentium 133 à écran VGA 256 couleurs.

Mais ceci est une autre histoire.

Au fil du temps, par un curieux concours de circonstances, je finis par être mis directement en relation avec le secrétaire du CE et par sympathiser avec lui en devenant en quelques sortes son conseiller technique alors que secrètement je n'étais pas adhérant à la même centrale syndicale que lui (ce que je lui avais caché) et que juste avant l'organisation des élections d'entreprise qui arrivaient à point nommé quelques jours après mes deux ans d'ancienneté, j'avais poussé le vice d'adhérer à son syndicat (sans le dire à quiconque d'autre que lui).

Il fut le premier ami d'une longue liste que j'allais trahir !

Le pauvre homme, (Dieu est son âme) m'avait octroyé sur ses listes une place de suppléant en DP et titulaire au CE avec la promesse que si nous étions majoritaires au Grand Collège, je serais nommé au CHSCT.

Lors de l'affichage au siège de l'entreprise des listes des candidats, je ne vous dis pas le choc qu'il eut en voyant mon nom apparaître sur une liste électorale concurrente ,...Je l'ai vu pleurer devant moi et je crois que ces graves problèmes de santé qui feront de lui une loque humaine alcoolique en moins de deux ans ont sérieusement commencé en cet instant !

Il dut modifier, dans l'heure qui suivit, sa liste avec un candidat en moins en pratiquant un cumul de deux candidats titulaires sur les listes DP et CE, chose que sa centrale lui avait vivement déconseillée, pour la plus grande joie des syndicats adverses rendus hilares par ce coup de théâtre de dernière minute, alors que moi, tout en rigolant avec eux, je me jurais de les "baiser " tous, ces fils de tepus de leur mères en short devant le prisunic !!!

Quelque temps après mon élection au CE, le CHSCT m'échappa. Le syndicat sur les liste de qui j'avais été élu ne fut pas majoritaire au Grand Collège, par contre, par un coup du sort que je n'avais pas pour une fois manigancé, le "Monsieur 35 heures" de notre syndicat démissionna de l'entreprise dans des conditions mouvementées que je ne détaillerais pas, et je fus proposé pour le remplacer, mandat que je m'empressais d'accepter pour négocier l'accord d'entreprise sur la réduction du temps de travail.

Cette mission fut pour moi à l'origine d'un tournant dans ma vie à plus d'un point.

Je découvris la corruption syndicale dans toute sa splendeur !

Les consignes venaient directement de la fédération syndicale ! J'avais interdiction de prendre des décisions avant d'en référer à la fédé. Ainsi, j'étais "détaché" par mon entreprise pour "négocier" tantôt au siège social, tantôt dans les locaux de la fédé tandis que mon salaire avait plus que triplé en "heures de délégation" !

Tant est si bien, qu'à force de fréquenter les bureaux de la direction, une jeune femme occupant stratégiquement un poste fort bien placé finit par attirer mon attention; nous tombâmes amoureux et par rapidement nous marier !

Celle qui devint ma femme fut pour moi une source d'informations confidentielles insoupçonnées sur les magouilles patronales ... et... syndicales ! Une vraie bénédiction à tous les niveaux tellement que c'était fusionnel dans l'intimité.

C'est ainsi que je découvris qu'un employeur a le plus légalement du monde le droit de subventionner le ou les syndicats de son choix et qu'un seul syndicat qui signe un accord d'entreprise rend cet accord légalement applicable.

Je fus en demeure de participer activement à un accord de réduction du temps de travail des plus catastrophiques pour les salariés. Ceux-ci se retrouvaient avec la quasi obligation de faire des heures sup qui, par un artifice juridique très subtile, les mettait dans la quasi impossibilité de pouvoir récupérer toutes leurs heures sup avec interdiction qu'elles leurs soient payées majorées.

Bref, une bonne partie des heures sup effectuées étaient payées au taux normal !

J'espérais secrètement que les autres syndicats allaient dénoncer devant les tribunaux cet accord scélérat !

Nous firent grèves quelques jours en inter-syndicales, mais rien de vraiment conséquent ne fut obtenu sinon quelques miettes pour la forme !

En fait, c'était une gueulante pour sauver les apparences mais tous laissèrent l'accord que j'avais signé au nom de mon syndicat entrer en vigueur !

J'avais accepté de spolier des centaines et des centaines de salariés pour seulement le triplement de mon salaire alors que ce furent des dizaines de milliers d'heures sur l'ensemble de la masse salarial qui profitèrent à l'employeur.

C'est là que je compris vraiment pourquoi mon prédécesseur avait préféré démissionné quelques mois auparavant !

Un point important, notre patron était également conseiller prud'hommal, président de la chambre syndicale de sa branche professionnelle, et ... franc-maçon, ce qui facilitait semble-t-il grandement les contrats avec les entreprises publiques.

J'obtint mon poste au CHSCT aux élections suivantes grâce d'une part à ma main mise sur le volet "formation continue" par lequel je proposais des stages courts financés tant par l'organisme paritaire collecteur du "1%" patronal que par les fonds du CE, permettant une promotion interne à bon nombre de salariés qui en remerciement, votaient, non pas pour mon syndicat, mais pour moi !

Ma troisième campagne électorale fut rocambolesque et infernale pour moi et pour d'autres. Elle fut aussi ma dernière année au sein de l'entreprise et également la fin de la vie conjugale.

J'avais tellement bien verrouillé mon affaire que j'avais trouvé intérêt à faire annuler les votes du 1er tour afin de me maintenir le plus longtemps possible en poste tant est si bien que je fini par monter une liste indépendante et de provoquer délibérément un deuxième tour électoral pour pouvoir permettre à mes fans de voter pour moi.

Ma femme fut mutée après de nombreuses vexations et harcèlement moral en tout genre, auquel je rétorquais de mon mieux en faisant perdre de l'argent à chaque fois que je le pouvais à mon patron en allant plaider pour des causes que personne ne voulait défendre aux prud'hommes dans des juridictions différentes du siège de l'entreprise puisque notre patron, en faisait parti des prud'hommes, ne pouvait à la fois être juge et partie !

Je pondais des comptes-rendus sans arrêt pour alerter les pouvoirs publics sur de graves manquements à la sécurité, n'hésitant pas à impliquer la responsabilité de nos clients donneurs d'ordre, ce qui les faisait paniquer au point de rompre leur contrats commerciaux avec mon entreprise.

Je ne me gênais pas, pour rendre publique les arrangements financiers du patron envers certains représentants syndicaux en publiant mes propres fiches de paie particulièrement gonflées en guise de tract, d'aller occuper les locaux de la direction en compagnie de salariés mis à pieds sans raison valable et en ne quittant les lieux que sous l'injonction des forces de l'ordre et en renouvelant l'opération une à deux fois par semaine avec à chaque fois de nouveaux salariés.

Ma femme était persuadée que j'étais devenu un fou furieux et mon comportement la terrorisée encore plus que celui du patron.

Mon patron était terrorisé à l'idée que je ne déclenche un audit comptable mené par un expert indépendant, un faisceau de présomption laissait entrevoir une possible double comptabilité qui pour moi était bien réelle. Les preuves me manquaient pour avoir la certitude quand à leurs utilisations dans des transactions en dessous de tables.

Les dernières réunions syndicales furent tellement tendues que l'inspecteur du travail vint en personne y participer, quand ce n'était comme une fois un représentant du ministère du travail venu en observateur prendre des notes pour la plus grande contrariété de l'inspecteur du travail.

Un salarié se serait aussi donné la mort en raison de la situation impossible dans laquelle il se serait retrouvé à cause de moi !

Ce qui faisait que ma femme s'en prenait plein la poire à cause de mon attitude radicalement et résolument agressive envers notre entreprise.

Elle finie, après avoir était sincèrement amoureuse et par m'avoir épauler et collaboré ensemble, par me détester et me haïr au point de refuser toute relation sexuelles. Elle avait choisi de faire la "grève du sexe" à mon encontre !

En six ans j'avais réussi à créer un foutoir innommable dans l'entreprise qui perdait de l'argent. Mon patron cherchait sérieusement à me supprimer ! Les menaces de morts étaient à peine déguisées !

Tous les syndicats souhaitaient ma perte.

Ma femme me haïssait et finira par me quitter et par partir je ne sais où, (je suis sans nouvelles d'elle depuis trois ans) !

Les derniers temps, beaucoup de salariés n'avaient plus confiance en moi, trouvant mon comportement excessif. J'avais pas choisi de faire dans la dentelle !

Le "turn-over" avait parait-il augmenté dans l'entreprise à cause de moi !

L'inspecteur du travail accepta de servir de "négociateur" pour me ménager une sortie honorable.

J'ai touché de l'argent (je ne dirais pas combien) pour accepter de ne pas contester mon licenciement de salarié protégé. Officiellement, mon comportement fut considéré comme incompatible avec mon maintient au sein de l'entreprise, ce qui en soit est vrai ! En réalité, c'était surtout pour que je ma la ferme sur ce que l'employeur pensait que je savais sur lui !

Dans la foulée de mon licenciement, mon ex patron a vendu à perte à un groupe étranger tant que son entreprise représentait encore de l'argent.

Des rumeurs me parvinrent comme quoi il aurait quitter définitivement la France.

Suite à cette vente, de nombreux salariés ont été licenciés dans des conditions désastreuses pour eux.

S'ils m'avaient retrouvé à l'époque, certains m'auraient sans hésité fait la peau puisqu'il paraîtrait que ce serait à cause de moi s'ils s'étaient retrouvés dans la merde et sans emploi.

J'ai presque tout vendu, y compris le mobilier et la voiture, sauf une chambre de bonne de 13 m2, et je me suis enfui en province, n'étant revenu à Paris que depuis deux ans, pour régler une affaire d'héritage et empocher ma part.

Je suis satisfait d'avoir pu accomplir ma vengeance envers tous ceux que je considère comme collectivement responsables du suicide de ce membre de ma famille. Je ne regrette en rien tout le mal et la désolation que j'ai provoqué ! De toute façon, nous sommes tous des fils de tepus !

NO FUTUR ! ZIS IZ ZI END ! Et je trouve cela drôle ! :P

wahou...c'est dur ! cette personne devait drolement compter pour toi, pour avoir foutu en l'air tout autour de toi....

Bonjour Misslol !

En effet, cette personne compte encore énormément pour moi !

Elle me fut de son vivant d'une aide précieuse pour démarrer dans le monde du travail et celui du syndicalisme.

Elle n'avait pas hésiter à m'aider financièrement et matériellement et elle était profondément bonne et humaine, essayant de rechercher tant l'intérêt des salariés que celui du patron.

Elle était un véritable "parternaire social" pour son entreprise qui en définitive ne la respectait pas et s'en servait comme on se serre d'une serpillère que l'on jète une fois usée !

Cette personne n'aurait certainement jamais approuvé un tel comportement de ma part, surtout dans son entreprise qu'elle aimait tant...

Rien que de penser à elle en cet instant, après tout ce temps, j'en suis encore ému et j'écrase une larme ! :(

Je rêve régulièrement d'elle et je suis persuadé que de là où elle est, elle me sert d'ange protecteur.

Paix à son âme !

Parce que la mienne n'est pas encore apaisée !

Cette entreprise existe toujours même si ce ne sont plus les mêmes dirigeants...et je souhaite toujours la voir disparaitre définitivement !

C'est une question de temps, j'ai l'intime conviction que j'aurais un jour l'occasion de "finir le boulot"... :twisted:

Et ce même si j'ai totalement décroché depuis de nombreuses années de toute activité professionnelle et de l'action syndicale...

Que veux-tu Misslol !

Je peux pas accepter d'être un mouton et de me faire tondre sans contreparties équitables.

Les salariés n'ont pour la plupart aucune idée à quel point ils se font exploiter par un système qui les détruit à petit feu !

J'ose pas vous embrasser, je pue trop de la gueule... :roll:

Flash, je crois que tu as eu part de ta vengeance...si tu es sûre que cette personne tant aimé n'approuverait pas ce que tu as fait ton coeur devrait pouvoir se calmer et cette soif de vengeance se stopper...tu as foutu en l'air son patron et c'est déjà bien, faire payer des inocents (femmes et enfants aussi) je ne crois pas que tu sois insenssible...la roue a tournée flash, ne reste pas dans la haine... laisse au destin de finir ton travail ...crois moi y 'a rien de pire qu'un homme transformé par la haine.
Méme si tu pues de la gueule je te bizouille quand même

Elle est adorable la mémère exhibitionniste ! Dommage qu'elle est encore des dents ! :)

Cette haine est intégrée en moi ! Je fais corps avec elle !

Ce n'est plus de la haine, c'est de l'énergie que je pompe psychologiquement à mes adversaires ! Les gens n'ont aucune idée de l'immense pouvoir de l'esprit !

Certaines de mes manoeuvres furent malgré tout un vrai crève-coeur, chose très importante pour moi, d'éprouver des sentiments, sinon on devient une vraie machine à tuer bonne pour l'asile de fous !

Ces opérations suicides comme j'aimais à les appeler, je les ai faites en pleine connaissance de cause concernant les dégats collatéraux qu'elles allaient générées.

Elles ont presque toujours atrocement bien fonctionnées, à mon grand étonnement !

Force est de constater le manque de machiavélisme et de réactivité de mes adversaires qui se laissaient facilement convaincre par un sourire rayonnant, de chaleureuses poignées de mains et un discours enjoleur mettant en valeur leurs réelles compétences (je n'ai jamais proféré d'insultes ni de menaces, bien au contraire) sans réaliser qu'ils étaient en train de se faire abattre comme de la volaille, complètement tétanisés par l'effet de surprise et l'énorme culot de certaines de mes manipulations qui auraient pu se résumée à :

Tu de défends pas, je te nique !
Tu te défends, je te nique quand même !

=

Tu n'en as pas encore conscience, mais tu es déjà niqué !

ho Flash arrête le massacre, je ne sais pas si tu arriveras à avoir repos de cette haine !
bizzzz

Nous avons tous la possibilité d'apprendre à gérer nos émotion, même et surtout la haine, comme l'amour d'ailleurs qui sont pour moi de même nature sur le plan énergétique, ce ne serait qu'une question de polarité.

J'ai appris quelques chose de très important durant cette période délirante mentalement parlant, c'est qu'il est très facile de détruire y compris le moral des individus mais qu'il est bien plus difficile de contruire et que la haine ne sera jamais un moyen de construction durable.

J'ai conscience avec le recul que je suis certainement passé à coté de choses bien plus importantes et que je n'ai pas voulu en profiter paisiblement !

C'est une véritable jouissance intérieure que de détenir LE POUVOIR et cela me fais peur !

Plus cela me fait peur et plus cela m'excite ! :roll:

MOsieur flash a écrit:

C'est une véritable jouissance intérieure que de détenir LE POUVOIR et cela me fais peur !
Plus cela me fait peur et plus cela m'excite ! :roll:

Je présume MOsieur flash que tu attendais des réactions nombreuses et variées au récit de ton histoire. Ainsi tu peux construire des posts répondants aux attentes diverses.Moi, personnellement je n'ai aucune réaction parcequ'après réflexion je ne vois rien dans ton histoire qui en vaille la peine : tout est équilibré le vengeur se venge et il devient aussi coupable que les coupables initiaux : la boucle est bouclée, les morts sont toujours aussi morts et les coupables un plus nombreux qu'avant...

Et oui Taz ! C'est la morale de mon histoire !

Bonsoir, toutes et tous!...
avant que de vous souhaiter un excellent week-end, je tenais à vous faire partager un clip vidéo d'actualité; il est, fort coustillant!...
ce qui serait bien, c'est que vous en fassiez la pub autour de vous, en ces jours de disette des transports...

http://fr.youtube.com/watch?v=zggSmCbE6CU

MDR

LOL

Bon, début de la deuxième partie de jeu......(rugby)...
bof, je m'aperçois qu'on est bons pour foutre la merde, faire des grèves, mais, ensuite....

On est bons pour plein de choses:
je n'ai plus le souvenir du nom de celui qui avait écrit: "le français était parfaitement capable de dénoncer des juifs aux allemands; par contre, donner un coin à champignons, ça, JAMAIS!...."

PS: J'ai omis de préciser que je suis assez bien placé pour en parler, car, même si ma grand'mère n'était pas juive, elle a été dénoncée par des français pour avoir caché des parachutistes anglais dans son grenier....c'est l'officier allemand qui le lui a confié, tant il était dégouté...

donc, pour en revenir au sport, s'il y a un sport qui devrait nous permettre de briller, c'est la delation!....
(demandez au fisc!..)

(désolé pour mes états d'ame....)

haaaaaaa Daffy tu me poignarde droit au coeur ....!

Ma Misslol, tu t'en remettra!...

c'était torché d'avance....
et ce n'est que justice.. nous n'aurions jamais du battre les blacks!.. (un en-avant flagrant, pas signalé)
donc, les Argentins, largement supérieurs aux Français ce soir, ont gagné de la plus belle des façons....
y'a rien à dire....

je croise tout de même les doigts pour que les Anglais se prennent une patée!....

[quote="daffy31"]Ma Misslol, tu t'en remettra!...

c'était torché d'avance....
et ce n'est que justice.. nous n'aurions jamais du battre les blacks!.. (un en-avant flagrant, pas signalé)
[/quote]

ha non alors on était les meilleurs contre les blacks et on leur mettra encore plus profond dans 4 ans !

Bonjour Daffy et merci pour la vidéo.

C'est tourné avec dérision et le message passe bien !

Excellente vidéo, je la download !

C'est une chance que personne sur ce forum n'a eu son grand-père mort dans un camps de concentration ... en tombant d'un mirador ! :roll:

Un appercu de quelque unes des luttes sociale de ces deux années en France.

Grandement instructif à plus d'un point...

Vidéo en cinq parties :

https://www.dailymotion.com/Gloerbst/video/xjrt2_coleres-du-temps-part-15

https://www.dailymotion.com/Gloerbst/video/xjs45_colere-du-temps-part-25

https://www.dailymotion.com/Gloerbst/video/xju7o_coleres-du-temps-part-35

https://www.dailymotion.com/Gloerbst/video/xjw3a_colere-du-temps-part-45

https://www.dailymotion.com/Gloerbst/video/xjwe6_colere-du-temps-part-5

alors ici, il fait beau, je me suis passée une soirée délire avec mon frère, excellent, j'avoue, on a abusé de la bibine, mais comme je dormais la, pas de problème de retour, alors je ne culpabilise pas de trop!

mais aujourd'hui, je ne vous raconte pas la gueule de bois!!

Aie, aie, aie

Bonjour, Ladyv....
Ah, ça, la gueule de bois, c'est jamais agréable!....
repose-toi bien....

merci daffy, mais honnêtement, je ne m'en plains pas, la soirée valait largement ce sacrifice!

bizz